‘1^er Mars 1869.

‘J'ai été heureux Monsieur de concourir à votre nomination comme associé étranger de l'Institut. Précisément l'été dernier j'avais lu vos Lectures à la Royal Institution sur la science et la formation du langage et j'avais été extrêmement frappé de l'élévation de la profondeur et de l'abondance des idées que vous y avez exposées. Je ne suis pas un juge compétent de vos travaux sur les Védas mais je me félicite d'avoir un peu contribué à vous en fournir les matériaux et je vous remercie d'en avoir gardé le souvenir. Mon seul regret est de ne vous avoir pas acquis vous-même à la France. C'est une fortune que j'envie un peu à l'Angleterre tout en lui en faisant mon compliment.

‘Recevez Monsieur et savant confrère l'assurance de ma considération la plus distinguée.